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Comment devenir chauffeur VTC ?

Comment devenir chauffeur VTC ?

Après le service Uber en 2019, une nouvelle plateforme dédiée aux mobilités pour les particuliers, Bolt, propose ses services à Tours et Orléans depuis le 24 février. Ceux qui veulent se lancer dans le métier de chauffeur VTC doivent réussir un examen pour se voir attribuer la carte professionnelle.
A.S
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La carte de chauffeur VTC est délivrée par les services de l’État, mais l’examen est organisé et validé par la Chambre de Métiers et de l’Artisanat Centre-Val de Loire, qui met en place des sessions alternativement dans les différents départements de la région, au rythme de deux par an pour le Cher, l’Eure-et-Loir, l’Indre-et-Loire et le Loiret, et d’un par an pour le Loir-et-Cher et l’Indre. Les candidats et candidates ont donc le choix pour passer un examen qui délivre une carte valable sur toute la France. À la différence du taxi, dont la licence est rattachée à une ville, le chauffeur VTC n’est pas limité à un territoire : il peut travailler où il veut et quand il veut.

Le calendrier des sessions d’admissibilité (épreuves théoriques) est disponible sur le site de la CRMA Centre-Val de Loire, crma-centre.fr. L’examen comprend deux parties. Il y a tout d’abord une première épreuve théorique à base de QCM et de questions rédigées dans sept matières, cinq matières générales (réglementation du transport de personnes, sécurité routière, français, anglais, gestion) et deux matières spécifiques aux VTC (réglementation nationale spécifique VTC et développement commercial et gestion spécifique de l’activité).

Formation conseillée

En fonction des résultats obtenus lors de cette partie théorique (chaque matière est notée sur 20 avec une note éliminatoire de 6), les candidates et candidats sont admis à l’examen pratique qui est également organisé par la Chambre de Métiers et de l’Artisanat. Il se déroule dans un véhicule à doubles commandes (comme dans les auto-écoles), avec un examinateur qui évalue la conduite mais aussi la capacité à accueillir les clients. Une personne accompagne l’examinateur pour jouer le rôle du client. C’est à l’issue de cet examen pratique qu’est délivrée (ou non) la carte nationale VTC par les services de l’État.

L’examen de VTC n’est pas foncièrement compliqué, mais il est quand même conseillé de suivre une formation spécifique. De nombreux organismes en proposent pour quelques centaines d’euros, avec des taux de réussite à l’examen souvent convaincants. C’est une garantie supplémentaire pour être admis d’emblée, car repasser l’examen engendre aussi des frais. Alors, autant mettre tous les atouts de son côté dès la première fois…

 
Plus d’infos
crma-centre.fr et examentaxivtc.fr

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