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Capturer l’essence de votre âme avec la photographie artistique d’iris

Capturer l’essence de votre âme avec la photographie artistique d’iris

Vous connaissez peut-être Nicolas Bouchaud et Astrid Chaumeton grâce à Get Out ! Ils ont importé en décembre dernier un concept allemand : la photographie artistique d’iris. Nous sommes allés y jeter un coup d’œil…
A.B
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J’ai découvert le principe à Strasbourg, avec une amie, raconte Astrid. À mon retour, j’en ai discuté avec Nicolas, qui est toujours en veille de ce qui fait en termes de nouveautés. » C’est ainsi que le gérant de Get Out ! Orléans et Astrid, qui y est salariée, ont eu cette bonne idée. Le duo, qui s’était déjà lancé dans d’autres projets, s’est associé pour l’occasion, ce qui explique que la galerie soit hébergée dans les locaux de l’escape game pour le moment. Astrid et Nicolas se sont lancés avec la franchise allemande : Iris Photo Art. En réalité, ils sont trois associés, la troisième personne a déjà ouvert une galerie à Cherbourg, avant que ne s’ouvre celle d’Orléans, en décembre dernier.

Immortaliser l’unicité

Ici, on prend votre iris en photo (ultra zoomée) et l’impression transforme l’image en œuvre d’art aussi originale que le sujet. Dix minutes seulement suffisent et la galerie est accessible avec ou sans rendez-vous. Astrid insiste sur l’unicité de l’œuvre qui sublime l’œil d’une ou de plusieurs personnes au point d’en faire une œuvre d’art : « Cela peut se faire entre amis, avec un conjoint, avec les enfants et petits-enfants… » Il est possible d’associer jusqu’à cinq iris différents sur une même impression. « Les photos mettent en valeur chaque personne telle qu’elle est, avec son imperfection dans l’iris », ajoute Clément, le photographe. Bien que la structure d’un iris soit la même d’un individu à l’autre, l’affaire n’est pas redondante. « Toutes les semaines, on découvre des iris particuliers : un amas de pigments qui crée comme de petites taches ou bien une opération au laser qui justifie une forme inattendue. » Lors du
rendez-vous, Clément choisit en compagnie du client lequel, de l’iris gauche ou du droit, se distingue de son pair. La photo est prise, le client choisit la dimension et le support d’impression parmi le papier photo, l’acrylique… « Il n’y a aucune retouche d’effectuée si ce n’est d’ôter l’impact du flash sur l’œil et de rendre le contour bien net », ajoute-t-il. Pour mener à bien une telle opération, la franchise – qui a plus de 10 ans – a développé une machine brevetée spécifique qui est composée de plusieurs appareils photos et zooms, accompagnée d’un logiciel performant pour générer des images de haute résolution. Même si le matériel ressemble à du matériel ophtalmologique, il est vraiment photographique. L’expérience est donc indolore car l’œil n’est pas touché. La seule gêne possible est celle des flashs !

Plus d’infos : sur www.irisphoto.art/fr_FR/galerien/orleans 

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